Le monde change à un rythme sans précédent, à un point tel que les innovations technologiques émergent à un rythme exponentiel. Ce constat est particulièrement vrai depuis le développement accéléré de l’informatique et des technologies numériques, que plusieurs décrivent comme une nouvelle révolution industrielle à part entière.
L’univers médiatique, plus particulièrement depuis l’avènement des réseaux sociaux, est l’un des secteurs les plus affectés par ce virage historique. Les médias traditionnels sont d’ailleurs confrontés à des défis titanesques, incluant la baisse de lectorat, la perte de revenus (en l’occurrence publicitaires) et l’érosion de la confiance (selon un rapport 2024 du Centre d’études sur les médias, 39 % des Canadiens ont confiance dans la « plupart des nouvelles », contrairement à 55 % en 2016).
Indépendamment de ces bouleversements, 73 % des Canadiens continuent de suivre quotidiennement l’actualité. C’est donc dire que les (vrais) médias répondent à un besoin fondamental et qu’il importe de les soutenir. Cette nécessité s’étend à la presse spécialisée, qui propose un contenu ciblé et adapté à des personnes partageant des intérêts communs, dépassant largement l’étendue de la couverture médiatique générale. Dans certains domaines, ils sont même la seule source fiable et pertinente. La Terre de chez nous (TCN), média d’exception dans le paysage agricole, occupe une place de choix dans cet écosystème.
Depuis 95 ans, La Terre est une source d’information privilégiée par les agricultrices et les agriculteurs de chez nous; un choix qui s’appuie sur la rigueur, la confiance, l’expertise, l’originalité et la tradition. À l’origine un instrument de diffusion des connaissances, des innovations et des techniques agricoles à l’intention des cultivateurs (quoique consulté par d’autres intervenants comme les agronomes, les politiciens, les fonctionnaires, etc.), elle a su s’adapter à une multitude de changements au fil des années, qu’il s’agisse de ses contenus, de sa grille graphique ou de ses plateformes de diffusion. Dans ce contexte de mouvance et de modernité médiatique, elle a systématiquement conservé la même qualité d’information journalistique qui a toujours fait sa renommée. À un point tel qu’on a peine à imaginer un Québec agricole sans TCN.
C’est pourtant à cette inimaginable possibilité que fait référence le slogan Si nous cessions d’exister, vous pourriez en être renversés, choisi pour sa nouvelle campagne d’abonnement. Un slogan qui, comme le précisent les grandes lignes de la campagne, s’applique à La Terre ainsi qu’à « tous les autres médias qui doivent se battre pour se tailler une place dans le quotidien de leurs lecteurs ».
L’abonnement à La Terre donne droit chaque année à quelque 2 500 pages d’actualité agricole, plus de 50 cahiers et magazines spéciaux, 47 portraits de familles agricoles et au-delà de 18 000 articles sur son site Web (dans leur intégralité). Il donne aussi accès à des contenus exclusifs, aux meilleures occasions d’affaires ainsi qu’aux contacts clés de l’industrie. Le tout pour seulement 1 $ par semaine (abonnement de trois ans), permettant de rester branché à sa communauté agricole, de demeurer à l’affût des tendances et de bénéficier d’une couverture médiatique complète.
Les réseaux sociaux prennent de plus en plus de place dans nos vies, y compris au regard de l’information. C’est pourquoi il est encore plus important de soutenir les médias véritablement crédibles et appréciés de tous leurs lecteurs. Je vous invite donc à consulter le cahier spécial au cœur de cette campagne (www.laterre.ca/sinouscessions This link will open in a new window).
En plus de s’abonner, ceux qui souhaitent démontrer leur soutien peuvent aussi se photographier avec une édition papier ou numérique du journal tournée à l’envers, puis à partager cette photo sur les réseaux sociaux avec le mot-clic #sinouscessions. Je compte sur vous!